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Quelques heures après la publication d'une nouvelle enquête de nos confrères d'Arrêt sur images sur le décès tragique de Gérald Babin, Adventure Line, la société de production de " Koh-Lanta ", a décidé de reprendre la parole travers le témoignage du réalisateur de l'émission. Avec ses 10 caméras, rien n'échappait Julien Magne depuis sa "tente régie". Ce sont ces images qui ont été transmises la police pour faire toute la lumière sur les circonstances du décès du jeune homme. Cette fois-ci, ALP a "choisi" un support internet, un média qui nous permet de vous faire partager cet entretien dans la longueur.

Propos recueillis par Julien Lalande.

puremedias.com : Des témoignages anonymes s'opposent la version "officielle" avancée par ALP...

Julien Magne (qui coupe la question) : Vous avez raison de le signaler, il s'agit de témoignages anonymes alors qu'il y a des témoignages prononcés cette semaine visage découvert, qu'il s'agisse des concurrents ou de Franck-Firmin Guion. C'est important de le noter parce que l'anonymat permet de cacher des intentions diverses et variées.

"Ces événements ne sont pas couverts par la confidentialité"

Je précise que ces "anonymes" évoquent un contrat de confidentialité pour justifier leur refus de voir leur identité dévoilée dans les médias et que mes confrères qui ont recueilli leur témoignage indiquent qu'ils ont vérifié qu'ils ont bien participé au tournage de l'émission.

Le contrat de confidentialité concerne l'aventure, ce qu'il y a dans le programme. ALP souhaite logiquement protéger le contenu de l'émission pour que les téléspectateurs découvrent le programme devant leur télévision. Les événements tragiques qui se sont déroulés ne sont bien sur pas couverts par la confidentialité. Ces gens-l peuvent dire ce qu'ils veulent visage découvert.

On peut (...)

"Il ne suffira pas qu'il y ait 60 000 créations de postes pour que le système soit transformé", a plaidé la secrétaire générale de la FSU.

Plusieurs centaines de manifestants ont commencé défiler samedi en début d'après-midi depuis la place de la Bastille l'appel de la FSU, principale fédération de l'éducation, pour réclamer "une vraie refondation de l'école". "Peillon, Peillon, faut vite que tu balayes toutes les reformes de Chatel... Livret de compétences, mise en concurrence", clamait-on au porte-voix avant le départ du cortège vers Montparnasse.

"Nous voulons manifester parce qu'il ne suffira pas qu'il y ait 60 000 créations de postes de professeur et un projet de loi discuté au Parlement pour que le système éducatif soit transformé en profondeur", a déclaré Bernadette Groison, secrétaire générale de la FSU. "Il faut aller au-del de ce qui est annoncé et qui va dans le bon sens : priorité a l'école primaire, réhabilitation de la formation initiale. On veut que manière urgente s'ouvre un chantier sur l'éducation prioritaire et la carte scolaire", a-t-elle dit. Mme Groison a aussi évoqué la préparation de la prochaine rentrée scolaire 2013 "qui risque encore d'être difficile".

"Education gagnons le changement" proclame une banderole du Snes Lyon (secondaire). Parmi les pancartes arborées par les militants de la FSU, "Transformer l'école, pour nos élèves oui ! Mais pas sans nous". La FSU, fédération de fonctionnaires, revendique 163 000 adhérents dont 80% dans l'éducation, au sein de dix syndicats d'enseignants et d'autres personnels de la maternelle l'enseignement supérieur.

L'Union européenne (UE) continue de faire peser un "risque" sur les perspectives économiques mondiales comme l'a rappelé le cas de Chypre, a affirmé vendredi un haut responsable du Trésor américain.

"Le risque d'instabilité financière en Europe reste un risque pour notre reprise et pour les perspectives économiques mondiales", a déclaré sous couvert de l'anonymat ce responsable alors que le secrétaire américain au Trésor, Jacob Lew, entame lundi une tournée dans l'UE.

"Les événements récents Chypre (sauvée de la faillite par un plan d'aide international, ndlr) nous rappellent que l'Europe se fraye un difficile chemin vers la réforme budgétaire et financière", a ajouté ce haut responsable, estimant que Chypre, plombée par son secteur financier, était une situation "unique".

Le responsable américain a toutefois souligné l'important poids économique de "nombreuses banques" européennes et appelé les autorités "avancer" vers un mécanisme institutionnel de "recapitalisation" et de "restructuration" afin de se doter d'un "filet de sécurité commun".

Ce responsable a également jugé qu'un rééquilibrage au sein de l'Union européenne était "vital" pour doper la demande et éviter "un épuisement lié l'austérité".

Selon cet officiel, les économies européennes qui disposent d'un surplus budgétaire doivent ainsi "davantage contribuer" renforcer la demande afin de faciliter l'assainissement des finances publiques dans les pays de "la périphérie" de la zone euro.

Lors de son voyage en Europe lundi et mardi, M. Lew rencontrera notamment le président de la Banque centrale européenne (BCE) Mario Draghi et le ministre français de l'Economie Pierre Moscovici.

Par la rédaction de Télé 7

En janvier dernier, les téléspectateurs de TF1 ont pu découvrir dans l'émission Sept Huit un reportage consacré aux serpents dans lequel des journalistes ont suivi un Français se rendant en Allemagne pour acheter un mamba noir et une vipère du Gabon, deux serpents parmi les plus venimeux au monde. Mais ce reportage, loin de passer inaperçu, aurait eu des conséquences inattendues pour le journaliste l'ayant réalisé.

Selon un article publié vendredi par le Dauphiné Libéré, le réalisateur du reportage en caméra cachée aurait en effet été condamné par le Tribunal de Valence pour "complicité dans l'achat et l'acheminement en France d'espèces dangereuses." La sanction choisie par la justice serait plutôt lourde. Le journal local affirme en effet que le journaliste de TF1 aurait été condamné il y a quelques jours 3 mois d'interdiction d'exercer ainsi qu' 1500 euros d'amende. Il devrait également être dans l'obligation de verser 1 000 euros une association oeuvrant pour la protection des animaux sauvages qui s'est constituée partie civile dans ce procès.

L'acheteur de ces serpents originaire de la Drôme aurait de son côté été condamné 6 mois de prison avec sursis et 3000 euros d'amende dont 2 000 avec sursis. La justice aurait également demandé ce qu'il verse 1 000 euros l'association qui s'est constituée partie civile et aurait prononcé la confiscation de ses serpents.

The River arrive sur MCM partir du 22 avril, 20 h 45. Cette série criminelle, produite par Steven Spielberg et réalisée par Oren Peli ( Paranormal Activity ), nous emmène dans les eaux troubles de l'Amazone. Un bémol l'enthousiasme suscité par cette programmation, ABC y a mis fin après huit épisodes seulement...

Le président Barack Obama a déclaré samedi que son projet de budget, qu'il doit dévoiler la semaine prochaine, est avant tout destiné revigorer la classe moyenne américaine en introduisant des réformes destinées réduire les déficits.

"Notre priorité en tant que nation, et ma priorité en tant que président, est de tout faire pour faire redémarrer le moteur de la croissance: il faut une classe moyenne prospère", a déclaré M. Obama dans son intervention hebdomadaire la radio. "C'est notre +Etoile polaire+, cela doit nous donner le cap pour chaque décision que nous prenons".

Cette déclaration intervient alors que selon des rumeurs Barack Obama va offrir aux républicains des concessions dans le domaine des programmes sociaux chers son parti démocrate, dans sa proposition de budget pour l'exercice 2014.

Selon un membre de son administration, en combinant les coupes dans les dépenses, M. Obama estime pouvoir parvenir une réduction du déficit supplémentaire de 1.800 milliards de dollars, étalés sur dix ans. Le déficit budgétaire annuel, projeté 5,5% du PIB pour l'exercice en cours qui s'achève en septembre, passerait 2,8% en 2016 et 1,7% en 2023, selon ce calcul.

Combiné avec les 2.500 milliards d'économies déj réalisées depuis les négociations de 2010, le projet de M. Obama permettrait une réduction totale des déficits de 4.300 milliards de dollars sur 10 ans, soit un peu plus que l'objectif négocié par les deux partis pour stabiliser la dette.

Cependant, le projet de M. Obama s'est déj attiré les foudres tant des conservateurs que des libéraux.

Ainsi, le président républicain de la Chambre des représentants John Boehner, qui a négocié depuis 2011 avec M. Obama sur les questions budgétaires, avec des résultats très limités, a accueilli la proposition de l'exécutif sans enthousiasme.

Les libéraux reprochent quant eux au président d'avoir fait trop de concessions aux républicains. Un sénateur de gauche, Bernie Sanders, a ainsi affirmé qu'il ferait tout pour bloquer le projet de M. Obama.

"Avec ce budget on ne dépenserait pas plus que nos ressources", a encore dit M. Obama.

"Ce projet ne conduirait pas effectuer des coupes budgétaires inutiles qui ne feraient que ralentir notre économie. Et nous tiendrons nos promesses pour la génération future en investissant dans les secteurs fondamentaux qui ont toujours fait une Amérique forte: la production et l'innovation, l'énergie et l'éducation", a-t-il ajouté.

Le président américain dévoilera le 10 avril son projet de budget pour l'exercice 2014, deux mois après la date normalement requise par la loi, a annoncé jeudi la Maison Blanche.

Ce retard est dû aux confrontations répétition entre les alliés démocrates de M. Obama et leurs adversaires républicains du Congrès sur la double question des dépenses et des impôts.

Jeudi 4 avril, Drew Barrymore assistait une conférence organisée par le magazine américain Lucky Los Angeles. L'occasion pour l'actrice âgée de 38 ans de dévoiler un look élégant mais aussi d'annoncer qu'on n'est pas prête de la revoir au cinéma !

Mariée Will Kopelman en juin 2012 et devenue maman en septembre dernier d'une petite Olive, Drew Barrymore est une femme et une mère radieuse qui ne cache plus ses priorités. Au magazine Us Weekly, présent la soirée, l'actrice qui a débuté sa carrière dans le mythique film E.T a clairement dévoilé sa nouvelle priorité : sa fille.

Pour Olive, Drew Barymore est donc prête tous les sacrifices : "Il y a parfois des choses dans lesquels vous avez investi beaucoup de temps et vous vous dîtes, je ne vais pas y arriver car je ne ferai rien d'autre correctement." Alors si il faut refuser certainement projets, elle le fera sans hésiter. La star du film Charlie et ses drôles de dames a ensuite confié s'être détournée de certains de ses objectifs afin de ne manquer aucun moment important de l'éducation de sa fille. Elle explique : "Vous savez que vous allez passer côté de l'éducation de votre enfant ou que votre relation va en souffrir si vous travaillez jour et nuit ou les week-ends. Il faut choisir ses batailles."

Drew Barrymore a donc fait son choix et lors de la conférence, l'actrice qui a lancé le 15 janvier dernier sa propre marque appelée Flower a donc clairement évoqué arrêter le cinéma : "Ca a été un dur choix faire mais il est évidement pour moi" (...) "Quand ma fille grandira, je reviendrai. Je n'oublierai jamais vraiment qui je suis et je ne quitterai jamais le navire. La vie prend des virages différents" a-t-elle conclu.

Sa jeune Olive étant âgée de tout juste 7 mois, on n'est pas prêt de revoir Drew Barrymore au cinéma ! La dernière fois, c'était dans Miracle en Alaska au printemps dernier. (...)